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ment de ne plus s'abandonner à de mauvais conseils.
Mais .comme la haine du sieur d'Epinay contre le comparant n'a pas été satisfaite, que son penchant, sa passion même, à faire le mal et le désir particulier qu'il a de voir cette jeune femme séparée de son mari et libre de se laisser diriger par lui le porte encore lui et ses adhérens à de nouvelles machinations, le comparant nous rend la présente plainte (i).
Signé : Reynaud; Chénon fils.
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vii — 1783, 15 avril
EXTRAIT DU PROCES-VERBAL DES SCELLÉS APPOSÉS APRES
LE DÉCÈS DE MADAME D'EPINAY EN SON HOTEL DE LA
RUE DE LA CHAUSSÉE-d'ANTIN.
L'an mil sept cent quatre-vingt-trois, le mardi 15 avril, onze heures du soir, nous Jean-Baptiste Ninnin etc., ayant été requis, nous sommes transporté rue de la Chaussée-d'Antin, en une maison dont est propriétaire et où demeure Mm0 d'Epinay, ci-après nom-
1) Archivesnationales, Y, n,5o6.
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